Rencontrer Marie-Claire, c’est découvrir une source d’inspiration inépuisable. À 53 ans, cette femme pétillante a pris une décision qui a changé le cours de sa vie : reprendre ses études.
Marie-Claire nous prouve qu’il n’est jamais trop tard pour réaliser ses rêves et redéfinir son avenir.
Un nouveau départ
« J’ai toujours eu cette envie d’apprendre, mais la vie en avait décidé autrement », commence-t-elle. Mariée jeune et mère de trois enfants, Marie-Claire a mis sa carrière en veille pour se consacrer à sa famille.
Mais une fois ses enfants autonomes, elle s’est retrouvée face à un vide qu’elle ne pouvait ignorer.
« C’était comme une seconde jeunesse qui s’offrait à moi, et je voulais la saisir à pleines mains », dit-elle avec des yeuxpétillants d’émotion.
Le courage de changer
Reprendre les études après 50 ans n’est pas une mince affaire.
« Il a fallu du courage pour franchir le seuil de l’université, entourée de jeunes de l’âge de mes enfants », admet Marie-Claire.
Mais elle ne s’est pas laissée intimider. « J’étais là pour apprendre et grandir, et rien d’autre ne comptait », insiste-t-elle en soulignant l’importance de l’éducation continue.
Des défis à surmonter
Le chemin n’a pas été facile. Marie-Claire parle des nuits blanches passées à réviser, des moments de doute où elle se demandait si elle était à sa place.
« Il y a eu des moments où je me sentais submergée, mais je savais que chaque effort me rapprochait de mon objectif », confie-t-elle.
Et cet objectif, c’était d’obtenir un diplôme en psychologie, une passion qu’elle avait toujours voulu explorer.
Une réussite éclatante
Aujourd’hui, Marie-Claire est une diplômée fière et épanouie. Ses efforts ont porté leurs fruits et elle est la preuve vivante que l’âge n’est qu’un chiffre.
« J’ai découvert des capacités que je ne me connaissais pas et j’ai tissé des liens précieux avec des personnes de tous horizons », dit-elle en évoquant son expérience universitaire avec chaleur.
« Si je peux donner un conseil : ne laissez jamais personne vous dire que c’est trop tard pour poursuivre vos rêves. La seule limite est celle que vous vous imposez », conclut-elle avec un sourire radieux.
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